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Notaires
29 et 30 mars 1852 Déclaration d'une tenue à Kerascoët de Joliff Guillaume Marie (1798-1855) et autres à Du Dresnay Marie Louise Françoise (1831-1902) et Caurant Louise Athénaïse (1820) |
4 E 194/170 Acte n° 99 |
Devant Me. Louis Théodore Désiré Barbe, notaire à la résidence du bourg de Moëlan, canton de Pont-Aven, arrondissement de Quimperlé, département du Finistère, ayant pour témoins instrumentaires Messieurs Pierre Julien Caëric, sécrétaire de la mairie et François Marie Doussal, boulanger, les deux demeurant au dit bourg de Moëlan, soussignés
2° Julien Joliff, époux de Marie Yvonne Bonté, demeurant au village de Kascoët ; 3° François Marie Joliff, époux de Marie Jeanne Olivier, demeurant au village de Clerc'h-moëne ; Agissant tous en leur nom privé que faisant, stipulant et garantissant pour 1° François et Marie Renée Talgarne, enfants mineurs issus du mariage de feu Marie Françoise Joliff avec vivant Pierre Talgarne, demeurant avec ce dernier au dit lieu de Kascoët. 4° Jean François Scoizec, comme époux de Marie Renée Philippon, cabaretier, demeurant au dit bourg de Moëlan ; 5° Jean Philippon, époux de Marie Josèphe Souffez, demeurant au village de Kmeurzac'h ; 6° Et Yves Marie Le Doze, comme époux de Marie Julienne Philippon, demeurant au village de Lanic, d'une et d'autre part ; Tous cultivateur, Le Scoizec excepté, domiciliés de la commune de Moëlan.
Lesquels, en privé et ès-qualités, nous ont déclaré 1° qu'ils possèdent en indivis à titre de convenant et domaine congéable sous 1° Madame Marie Louise Françoise Dudresnay et Monsieur Louis Marie François de Kersauson-vieux-châtel, son mari en autorité, propriétaires, demeurant en la ville de Morlaix ; 2° et sous Madame Louise Athénaïse Caurant, aussi propriétaire, veuve de Mr Charles Dodeur, agissant et stipulant comme tutrice légale de 1° Charles Louis Sébastien, 2° et Louise Marie Prudente Dodeur, ses deux enfants issus de son mariage, demeurant en la ville de Quimperlé.
Une tenue logée et hébergée dite tenue du couchant ou de l'ouest située au lieu de Kascoët et en ses dépendances, en la dite commune de Moëlan ; qu'ils ont fait procéder par le ministère d'un expert à leur choix à l'énumération et au mesurage des édifices et terre composant la dite tenue, sans pouvoir néanmoins connaître ni distinguer les terres appartenant aux sieur et dame de Ksauson de celles pouvant appartenir aux enfants Dodeur susdénommés ; qu'enfin les arbres, essence châtaignier, ne font ni n'ont jamais fait partie du fonds de la tenue en question.
Après lesquelles reconnaissances, les comparants prénommés nous ont requis de transcrire ici la déclaration et le travail de leur expert, ce que nous faisons, ainsi qu'il suit : Art. 1er. Une maison nommée Thy-ar-Joliff, couverte en paille, ayant de long à deux longères treize mètres soixante centimètres, de franc à deux pignons des levant et couchant cinq mètres vingt centimètres et de hauteur réduite trois mètres vingt centimètres ; dans la costière du midi une porte, deux fenètres avec trois barres de fer, deux lucarnes et une gerbière en simple maçonnerie, plus un niche avec grillage en fer dans laquelle se trouve une petite statue de vierge en faïence ; les deux pignons ayant pierres chevronnières et cheminée, la cheminée du couchant ayant ses manteau et corbelets en bois, ses corbeaux en pierre de taille, son âtre en pierre de même nature ; il s'y trouve trois cendriers et deux orbes ; sa pile en simple maçonnerie est ornée en taille ; la cheminée du levant à son manteau, ses corbeaux et corbelets en bois, l'âtre en pierres communes, avec un cendrier et deux orbes ; la pile est aussi en simple maçonnerie avec ornements en taille ; dans l'intérieur deux cloisons en planches, une porte en bois de bout sur pivots en bois dans chacune des cloisons, six orbes, deux petites armoires d'attache à la costière du midi ; dans la costière du nord une grande armoire d'attache, dix poutres soutenant un plancher en châtaignier, une échelle de meunier pour fréquenter le grenier ayant dix marches, une porte fermant par un cadenas ; quatre fermes et quatre filières en sciés, faîtage en bois équarris, chevrons et lattes en rondins et l'entrée de la dite maison est pavée en pierre de bout. [B-0474] [à Guillaume Marie Joliff et Julien Joliff] Art. 2. Au levant et d'attache à la précédente maison, une crèche ou écurie dite Craou-ar-zaout, ayant de long à deux longères sept mètres quatre-vingt centimètres, de franc à un pignon du levant avec pierres chevronnières cinq mètres vingt centimètres et de hauteur réduite deux mètres vingt centimètres ; dans la longère du midi, une porte en simple maçonnerie, linteaux et palatres en bois, une petite fenêtre en simple maçonnerie, dans le pignon une gerbière en pierres communes, linteau et palatres en bois, cinq poutres soutenant au plancher, cinq fermes en bois sciés, faîtage, chevron et lattes en rondins. [B-0474] [aux mêmes] Art. 3. Au midi bout du levant des deux articles précédents mais séparée par une ruelle, une maison nommée Thy-coz, ayant de long à deux longères dix mètres soixante centimètres, de franc à deux pignons des nord et midi quatre mètres trente centimètres et de hauteur réduite deux mètres quatre-vingt centimètres ; dans la longère du couchant, une porte en pierre de taille, une fenêtre de même nature avec en outre trois barres en fer, plus autre fenêtre en simple maçonnerie, deux gerbières dont l'une en taille ; dans le pignon du nord une cheminée, manteau et corbeaux en bois, corbelets en pierre, âtre en pierres communes, pile en simple maçonnerie ; au pignon du midi, une cheminée, manteau, corbeaux et corbelets en bois, âtre et pile en pierres communes ; huit poutres soutenant un plancher, un emplacement d'armoire d'attache, quatre fermes en bois sciés, chevrons, lattes et faîtage en rondins. [B-0475] [1/2 nord à François Joliff et 1/2 midi à Guillaume et Julien Joliff] Art. 4. Au midi et d'attache à la précédente maison, autre maison nommée Thy-Philippon, ayant de long à deux longères sept mètres quatre-vingt centimètres, de franc à un pignon au midi quatre mètres quarante centimètres et de hauteur réduite trois mètres ; dans la longère du couchant une porte et deux fenêtres, l'une ayant une barre en fer, l'autre en ayant deux, plus une gerbière, le tout en pierre de taille ; au pignon du midi une cheminée avec manteau, corbeaux et corbelets en bois, pile en pierres communes et pierres chevronnières ; une demi cloison en planches dans l'intérier plus une échelle de meunier pour desservir le grenier, six poutres soutenant un plancher, deux fermes et deux filières en bois sciés, lattes, faîtage et chevrons en rondins. [B-0476] [aux héritiers de Julien Philippon] Art. 5. Au couchant de Ty-ar-Joliff, mais séparée par le chemin qui conduit aux landes, une crêche nommée Craou-ar-ronsset, ayant de long à deux longères trois mètres vingt centimètres et de franc à un pignon avec pierres chevronnières trois mètres quarante centimètres et de hauteur réduite deux mètres vingt centimètres ; une porte au midi à carré de bois ; trois poutrelles, une ferme en bois sciés, faîtage, lattes et chevrons en rondins. [B-0474] [à François Joliff] Art. 6. Au couchant du précédent article, autre crêche nommée Craou-an-nohen, ayant de long à deux longères cinq mètres soixante centimètres, de franc à un pignon au nord quatre mètres et de hauteur réduite deux mètres vingt centimètres ; dans la longère une porte en simple maçonnerie communiquant à l'article qui précède, une fenêtre au levant, une fendasse et une gerbière au couchant, six poutrelles, une ferme en bois sciés, faîtage, chevrons et lattes en rondins. [B-0474] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 7. Au midi de l'article précédent, autre crêche dite Craou-ar-zaout, ayant de long à deux longères neuf mètres, de franc à deux pignons des nord et midi trois mètres quatre-vingt-dix centimètres et de hauteur réduite trois mètres ; au levant une porte en simple maçonnerie, une fandasse et une gerbière à carré de bois ; au couchant une fendasse, sept poutrelles, deux fermes et deux flières en bois sciés, faîtage, lattes et chevrons en rondins. [B-0435] [aux héritiers de Julien Philippon] Art. 8. au midi et d'attache au précédent article, un hangar sur une aire à battre, nommé Cardi-al-leur, ayant de long à deux longères sept mètres vingt centimètres et de franc à un pignon sur la dite aire à battre dans lequel il y a une porte charretière, crochets et lanciers en pierre de taille, palâtres et linteau en bois, trois mètres quatre-vingt-dix centimètres et de hautreur réduite deux mètres vingt centimètres, avec deux poutres sans plancher, une ferme et deux filières en bois sciés, faîtage, lattes et chevrons en rondins. [B-0435] [aux mêmes] Art. 9. au nord, bout du couchant de la maison des Joliff, un appentis nommé Cardi-ar-c'har. [B-0474] [Guillaume et Julien Joliff] Art. 10. Au nord de Thy-ar-Joliff et de Craou-ar-zaout, un courtil sous pâture nommé Liors-dréon-an-thy, ayant ses édifices au cerne, du midi sur les logements, sur lesquels édifices il y a dix ormeaux, trois chênes et un frêne ; le dit courtil donnant du couchant sur Toulan-parc-ar-guérir et du nord sur Toulan-ar-lann, d'une contenance de six ares cinquante centiares. [B-0473] [aux mêmes] Art. 11. Au levant de l'article précédent, un courtil sous pâture nommé Liors-radennec, ayant son édifice au nord et partie du levant, bout du nord, donnant du nord sur Toulan-al-lann, contenant sous fonds six ares cinquante centiares et sur le fonds se trouve un chêne. [B-0472] [aux mêmes] Art. 12. Au levant du précédent, autre courtil de même nom, ayant ses édifices au cerne fors du midi, donnant du nord sur Toulan-al-lann et du levant sur terre à Mr Duquilio, sur les fonds et édifices quatorze chêne et deux ormeaux, le tout d'une superficie de trois ares cinquante centiares. [B-0471] [aux Philippon] Art. 13. Au midi des deux précédents articles, autre courtil à chanvre nommé Liors-canap, divisé en trois parcelles, les deux du nord appartenant à Guillaume et Julien Joliff et l'autre au midi à François Joliff, ce courtil a ses édifices des levant et midi et une haie vive au midi, donnant du midi sur la tenue Larcher et du levant sur celle de Mr Duquilio et contient sous fonds neuf ares trente centiares, avec un chêne et seize ormeaux. [B-0470] Art. 14. Au couchant du précédent article, autre courtil nommé Liors-dréon-an-thy, avec ses édifices au cerne fors sur les logements, donnant du midi sur Toulan-an-daour et du couchant sur la cour et les logements, contenant sous fonds six ares quatre-vingt-dix centiares, avec trois frênes, quatre chênes et dix-neuf ormeaux. [B-0473] [aux Philippon] Art. 15. Au couchant de Toulan-parc-ar-guéric, autre courtil dit Ar-c'hoätaillou-bian, sous pâture, ayant ses édifices des nord et levant, donnant du midi sur courtil dépendant de la tenue Larcher et du couchant sur lande dépendant de Kgoulouët, contenant sous fonds quatre ares six centiares. [B-0434] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 16. Autre courtil nommé Liors-dréon-ar-c'hardi, ayant ses édifices des couchant et nord, donnant du levant sur les logements et du couchant sur Parc-créde-pelle de Kgoulouët, avec onze ormeaux et un frêne sur les édifices, contenant sous fonds trois ares trente centiares. [B-0434] [aux Philippon] Art. 17. Une aire à battre, ayant ses édifices au couchant sur le dit Parc-crede-pelle et du levant sur Toulan-al-leur, contenant sous fonds deux ares. [B-0434] [commun] Art. 18. Au midi de l'aire à battre, autre courtil nommé Liors-côl, ayant ses édifices au cerne, donnant du levant sur Toulan-al-leur, contenant sous fonds trois ares quarante centiares avec cinq chênes, quatre ormeaux et deux frênes. [B-0433] [aux Philippon] Art. 19. Au couchant du précédent article, autre courtil nommé Liors-bras, ayant ses édifices du couchant, du midi et celui du levant fors la partie qui donne sur le précédent, donnant du couchant sur le dit Parc-créde-pelle et du midi sur la tenue du Quilio, contenant sous fonds quatorze ares soixante-dix centiares avec un ormeau et trente-deux chênes sur les édifices. [B-0432] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 20. Au midi du four, autre courtil nommé Liors-ar-forne, ayant ses édifices au couchant sur Toulan-al-leur et du levant sur Toulan-an-dour sur lequel édifice il y a deux frênes, deux ormeaux et trois chênes, contenant sous fonds trois ares soixante-dix centiares. [B-0478] [à François Joliff] Art. 21. Au midi du précédent, autre courtil dit Liors-ar-groës, ayant ses édifices au cerne, donnant des levant et midi sur la tenue Larcher et du couchant sur Toulan-al-leur, contenant sous fonds quatre ares quatre-vingt-dix centiares avec sept chênes, six ormeaux et deux frênes sur les édifices. [B-0479] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 22. Au nord de Liors-dréon-an-thy-ar-Joliff mais séparé par Toulan-ar-lan, un champ, terre chaude nommé Parc-dréon-tost, ayant ses édifices tout autour, donnant du couchant sur Toulan-parc-ar-guéric et du nord sur terre aux héritiers de Jean Le Reste, contenant sous fonds trente-un ares cinquante centiares avec trois hêtres, cinquante-six chênes, deux ormeaux, un frêne et un sapin. [B-0440] [aux Philippon] Art. 23. Au levant du précédent, une parcelle à être prise au couchant dans un champ nommé Parc-dréon, ayant ses édifices des nord et midi sur Toulan-ar-lan, donnant du nord sur lande aux déclarants, contenant sous fonds dix-neuf ares vingt centiares avec six chênes sur les édifices. [B-0441] [B-0442] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 24. Une parcelle de terre chaude sous fruitiers à prendre au levant dans le même champ, ayant ses édifices des nord et midi sur Toulan-ar-lan, donnant du nord sur lande aux déclarants, contenant sous fonds sept ares vingt centiares, avec deux chênes et un sapin sur les édifices. [B-0443] [aux Philippon] Art. 25. Au levant de l'article précédent, autre parcelle de terre sous pâture, de même nom, ayant ses édifices au cerne fors du couchant, donnant du nord sur lande aux déclarants et du midi sur Toulan-ar-lan, contenant sous fonds quatroze ares soixante-dix centiares, avec quarante-quatre chênes sur les édifices. [B-0444] [1/2 nord aux héritiers Talganr Pierre, 1/2 midi à Julien et Guillaume Joliff] Art. 26. Une parcelle de terre au levant dans un champ, terre chaude, nommé Parc-an-irvine-pelle, ayant son édifice du midi et la moitié bout du midi de celui du levant, donnant du levant sur terre à Jacques Kgoät, du midi sur Toulan-coätaillou et du nord sur lande aux déclarants, contenant sous fonds quatorze ares quarante centiares, avec quinze chênes et un frêne sur les édifices. [B-0871] [François Joliff] Art. 27. Une parcelle de terre, au couchant dans le même champ, ayant tout l'édifice du nord et la moitié bout du nord de celui du levant, donnant du midi sur Toulan-coateillou, du couchant sur terre à Jacques Kgoat et du nord sur terre aux déclarants, contenant sous fonds quatorze ares quarante centiares, avec vingt-cinq chênes sur les édifices. [B-0871] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 28. Autre parcelle de terre chaude sous fruitiers dit Liors-héri-tost, ayant son édifice au midi sur lequel il y a deux chênes, donnant du couchant sur terre de la tenue Duquilio et du nord sur Liors-col, contenant sous fonds dix ares trente centiares. [B-0430] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 29. Au levant du précédent article, autre parcelle de terre nommée Liors-héry-pell, ayant ses édifices des levant et midi, donnant du levant sur les terres de la tenue Duquilio, contenant sous fonds dix-huit ares vingt centiares, avec vingt-un chênes et quatre ormeaux. [B-0431] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 30. Autre parcelle de terre nommée Liors-héri ou Ar-cluniou, ayant son édifice du couchant, bout du nord, trois chênes, donnant des levant et couchant sur terres de la tenue Duquilio, contenant sous fonds quinze ares soixante centiares. [B-0486] [François Joliff] Art. 31. Autre parcelle de terre de même nom ayant ses édifices des nord et levant, donnant du nord sur le chemin qui conduit de la tenue Lacher à la tenue Duquilio, contenant sous fonds dix-huit ares cinquante centiares, avec neuf chênes et deux ormeaux sur les édifices. [B-0488] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 32. autre parcelle de terre chaude nommée Plac-ar-bernou-teille, sans édifices, donnant du couchant sur un sentier, contenant sous fonds vingt-trois ares soixante centiares. [B-0491] [aux Philippon] Art. 33. Au levant du précédent article, autre parcelle de terre chaude, même nom, sans édifices, donnant du levant sur terre à François Caëric, contenant sous fonds dix-neuf ares. [B-0492] [François Joliff] Art. 34. Au midi du précédent article, autre parcelle de terre chaude nommée An-daouzec-éro, sans édifices, donnant du midi sur terre aux héritiers de Jean Le Reste, contenant sous fonds quinze ares quarante centiares. [B-0493] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 35. Autre parcelle de terre chaude dite Ar-séïz-éro, ayant son édifice au couchant, donnant du couchant sur un commun de la tenue Duquilio et du nord sur terre de la tenue Larcher, contenant sous fonds neuf ares quatre-vingt-dix centiares, avec deux chênes et trois ormeaux sur son édifice. [B-1507] [aux mêmes] Art. 36. Au midi du précédent article, autre parcelle de terre chaude, de même nom, ayant son édifice au couchant sur lequel il y a quatre ormeaux, donnant du couchant sur le dit commun, contenant sous fonds neuf ares quatre-vingt-dix centiares. [B-1506] [aux Philippon] Art. 37. Au midi, bout du couchant du précédent article, autre parcelle de terre chaude dite Ar-bescou, ayant son édifice au couchant sur le dit commun, donnant du midi sur le chemin de Kascoët au bourg de Moëlan, contenant sous fonds quinze ares cinquante centiares, avec chênes et cinq ormeaux sur son édifice. [B-1505] [aux Philippon] Art. 38. Au levant de l'article précédent de l'article précédent, autre parcelle de terre chaude, dite aussi Ar-bescou, sans édifices, donnant du levant sur terres aux héritiers de Jean Le Reste, et du midi sur le dit chemin, contenant sous fonds douze ares quatre-vingt-dix centiares. [B-1504] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 39. Autre parcelle de terre chaude nommée Meste-ar-run, sans édifices, donnant du levant sur Douar-ar-c'hi de la tenue Duquilio et du midi sur terre de la dite tenue, contenant sous fonds vingt-un ares cinquante centiares. [B-1501] [aux mêmes] Art. 40. Autre parcelle de terre chaude nommée Doug-ar-stanc, ayant son édifice au levant sur lequel il y a deux chênes, donnant des nord et midi sur la tenue Duquilio, contenant sous fonds vingt-deux ares soixante-dix centiares. [B-1491] [aux Philippon] Art. 41. Au couchant de la précédente parcelle, autre parcelle nommée An-trimin, sans édifices, donnant du midi sur autres de même nom à Pierre Talgarne et du nord sur terre de la tenue Duquilio, contenant sous fonds treize ares. [B-1489] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 42. Autre parcelle de terre chaude aussi dite An-trimin, ayant son édifice du levant et partie de celui du midi, bout du levant, sur lesquels il y a six chênes, donnant du nord sur terre à Pierre Talgarn et du midi sur terre de la tenue Duquilio, contenant sous fonds dix-sept ares soixante centiares. [B-1487] [aux Philippon] Art. 43. Au levant de la précédente, autre parcelle de terre chaude nommée Poulizac-bian, ayant son édifice au levant sur lequel il y a quatre chênes et deux ormeaux, contenant sous fonds quinze ares cinquante centiares. [B-1484] [aux mêmes] Art. 44. Au midi de l'article précédent, autre parcelle de terre chaude et de même nom, ayant son édifice au levant sur lequel il y a six chênes, donnant du midi sur terre de la tenue Duquilio, contenant sous fonds seize ares cinquante centiares. [B-1483] [aux mineurs de Pierre Talgarn] Art. 45. Dans une pièce de terre chaude nommée Poulizac-bras, autre parcelle de terre chaude, même nom, ayant ses édifices des levant et nord sur lesquels il y a quinze chênes, donnant du nord sur terre de la tenue Duquilio, contenant sous fonds vingt ares cinquante centiares. [B-1481] [aux Philippon] Art. 46. Au midi de l'article précédent et dans le même champ, autre parcelle de même nom, ayant ses édifices des levant et midi, donnant du midi sur terre de la tenue Duquilio, contenant sous fonds soixante-un ares cinquante centiares, avec douze frênes et dix chênes. [B-1479] [B-1480] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 47. autre parcelle de terre chaude nommée Parc-lan-vian, ayant ses édifices au cerne fos du levant sur lesquels il y a huit chênes et deux frênes, donnant des couchant et nord sur terre de la tenue dite Duquilio, contenant sous fonds trente ares trente centiares. [B-0507] [aux Philippon] Art. 48. au levant de l'article précédent et dans le même champ, autre parcelle de terre chaude, même nom, ayant ses édifices des nord et midi sur lesquels il y a trois chênes, donnant du nord sur la dite tenue Duquilio, contenant sous fonds quinze ares. [B-0508] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 49. Au levant de l'article précédent et dans le même champ, autre parcelle de terre de même nom, ayant des édifices des nord et midi sur lesquels il y a dix chênes, donnant du nord sur terre de la tenue Duquilio et contenant sous fonds dix-huit ares soixante centiares. [B-0509] [aux mineurs de Pierre Talgarn] Art. 50. Au levant de la précédente parcelle et dans le même champ, aytre parcelle de terre chaude, même nom, ayant ses édifices au cerne fors du couchant sur lesquels il y a dix-sept chênes, donnant du nord sur terre aux déclarants et du levant sur terre de la dite tenue Duquilio, contenant sous fonds trente-sept ares vingt centiares. [B-0509] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 51. Autre parcelle de terre chaude nommée Tal-gloët-Colin, ayant son édifice au midi fors partie au milieu sur un champ dit Parc-lan-vian aux héritiers de Jean Le Reste, contenant sous fonds sept ares quatre-vingt-dix centiares. [B-0503] [aux mineurs Talgarn] Art. 52. Au nord de la précédente parcelle, autre de même nom sans édifices, donnant du nord sur terre de la dite tenue Duquilio, contenant sous fonds sept ares quatre-vingt-dix centiares. [B-0503] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 53. Autre parcelle de terre chaude nommée An-éro, sans édifices, donnant des nord et midi sur terre de la dite tenue Duquilio, contenant sous fonds trente-quatre ares quatre-vingt centiares. [B-0501] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 54. Autre parcelle de terre chaude nommée An-treuze, sans édifices, avec un chêne au levant, donnant du nord sur parcelle nommée Plac-ar-bernnou-teille à François Caëric, du midi sur terre aux héritiers de Jean Le Reste et du levant sur une voie charretière, contenant sous fonds vingt-un ares. [B-0534] [aux Philippon] Art. 55. Autre parcelle de terre chaude nommée Pen-ar-parcou, ayant son édifice au nord sur un chemin, donnant du levant sur terre à Pierre Talgarne et du midi sur terre aux héritiers de Jean Le Reste, contenant sous fonds vingt-un ares quarante centiares avec quatre ormeaux et deux chênes. [B-0536] [aux mêmes] Art. 56. Au couchant de la précédente parcelle, autre terre chaude et de même nom, ayant son édifices au nord sur le dit chemin, donnant du midi sur terre aux héritiers de Jean Le Reste et du couchant sur terre de la tenue Larcher, contenant sous fonds vingt-trois ares quatre-vingt-dix centiares, avec cinq chênes. [B-0537] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 57. Autre parcelle de terre chaude nommée Tal-ar-viline-avel, ayant son édifices au midi, donnant sur une champ à Catherine Le Delliou de Lanvian, contenant sous fonds sept ares quatre-vingt-cinq centiares. [B-0530] [à François Joliff] Art. 58. Au nord de la précédente, autre parcelle de terre chaude, de même nom, sans édifices, donnant des couchant et nord sur terre aux héritiers de Jean Le Reste, contenant sous fonds sept ares quatre-vingt-cinq centiares. [B-0531] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 59. Autre parcelle de terre chaude nommée Parc-lescoät, ayant son édifice au midi, donnant du levant sur terre à Pierre Talgarne et du couchant sur terre de Kgoulouët, contenant sous fonds cinquante-cinq ares soixante centiares avec dix chênes dont cinq sur le plat. [B-0525] [B-0526] [aux mêmes] Art. 60. au midi de la cour, un four, contre le four un puits ayant une margelle en une seule pierre de taille, contre le puits une auge en pierre commune, contre le four une pierre à piler de la lande, plus une autre pierre au pignon du midi de la maison Philippon. [communs]
Terres froides : Art. 61. Une parcelle de terre froide nommée Ar-ventellac'h, sans édifices, donnant du midi sur terre ou Parc-dréon aux déclarants et du couchant sur terre de la tenue Larcher, contenant sous fonds un hectare trois ares. [B-0380] [aux Philippon] Art. 62. Au levant de la précédente, autre parcelle de terre et de même nom, sans édifices, donnant du midi sur Parc-dréon-an-thy aux déclarants, contenant sous fonds un hectare trois ares. [B-0381] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 63. Au levant de la précédente, autre parcelle de terre de même nom, sans édifices, donnant du midi sur Parc-névez-lan de la tenue dite Duquilio, contenant sous fonds un hectare trois ares. [B-0382] [aux mêmes] Art. 64. au levant de la précédente, autre parcelle de terre froide et de même nom, sans édifices, donnant du midi sur terre aux déclarants, contenant sous fonds un hectare trois ares. [B-0383] [aux mineurs Talgarn] Art. 65. Au levant de la précédente, autre parcelle de terre, de même nom, sans édifices, donnant du midi sur terre aux déclarants, contenant sous fonds un hectare trois ares. [B-0384] [aux Philippon] Art. 66. Un champ, terre froide, nommée Parc-névez-lann, ayant ses édifices des nord et levant et celui du couchant fors petite partie bout du midi, contenant sous fonds soixante-neuf ares soixante-dix centiares. [B-0866] [aux Philippon] Art. 67. Une parcelle de lande nommée Toul-car-méné-tress, ayant son turon au midi, donnant du couchant sur un ruisseau et du nord sur terre à François Caëric, contenant sous fonds quatre-vingt-quinze ares quatre-vingt centiares. [B-0849] [aux Philippon] Art. 68. Autre parcelle de terre froide nommée Bec-an-tress, sans édifices, donnant du nord sur la rivière de Beslon, contenant sous fonds quarante-deux ares trente centiares. [B-0839] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 69. Au midi de la précédente parcelle, autre aussi de même nom, sans édifices, contenant sous fonds quarante-deux ares trente centiares. [B-0840] [aux Philippon] Art. 70. Au midi de la précédente, autre parcelle de terre froide, aussi nommée Bec-an-tress, sans édifices, contenant sous fonds vingt-un ares vingt centiares. [B-0841] [à François Joliff] Art. 71. Au midi de la précédente, autre parcelle de terre de même nom, sans édifices, donnant du midi sur terre aux héritiers de Jean Le Reste, contenant sous fonds vingt-un ares vingt centiares. [B-0842] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 72. Une parcelle de terre froide nommée Stanc-Couliou, sans édifices, donnant du couchant sur une voie charretière et du nord sur la rivière de Beslon ou du Guilly, contenant sous fonds trente-un ares vingt centiares. [B-0829] [aux Philippon] Art. 73. Au couchant de l'article précédent, autre parcelle de terre froide et de même nom, sans édifices, contenant sous fonds quatre-vingt-treize ares quatre-vingt ares. [B-0830] [aux mineurs de Pierre Talgarn] Art. 74. Au levant du précédent article, autre parcelle de terre froide nommée également Stanc-Couliou, sans édifices, contenant sous fonds trente-un ares trente centiares. [B-0831] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 75. au levant de la précédente, autre parcelle de terre froide de même nom, sans édifices, donnant des nord et levant sur la rivière de Beslon ou du Guily, contenant sous fonds trente-un ares trente centiares. [B-0832] [aux Philippon] Art. 76. Une parcelle de terre froide nommée Lannec-an-dachen-glas, ayant son turon au nord, donnant du couchant sur une voie charretière, contenant sous fonds quatre-vingt-dix-sept ares soixante-un centiares. [B-0857] [B-0859] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 77. Au levant de la précédente, autre parcelle de terre froide, de même nom, ayant un turon dans l'enclave, contenant sous fonds soixante-cinq ares. [B-0858] [aux Philippon] Art. 78. Au levant de la précédente, autre parcelle de terre à lande ou terre froide, aussi nommée Lannec-an-dachen-glas, donnant du levant sur un ruisseau, contenant sous fonds trente-deux ares soixante centiares. [B-0860] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 79. Autre parcelle de terre froide à être prise au nord dans un champ, de même nature, nommée Prad-névez, ayant ses édifices au cerne fors du midi, donnant du levant sur un ruisseau et du nord sur Lannec-an-dachen-glas aux déclarants, contenant sous fonds trente-huit ares quarante centiares avec un chêne et un sapin sur les édifices. [B-0879] [B-0880] [aux mineurs de Pierre Talgarn] Art. 80. Au midi de la précédente, autre parcelle de terre froide, même nom, ayant ses édifices des couchant et levant sur une ruisseau, contenant sous fonds dix-neuf ares quarante centiares avec deux chênes sur les édifices. [B-0881] [B-0882] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 81. Au midi de la précédente, autre parcelle de terre froide, même nom, ayant ses édifices des couchant et levant sur un ruisseau, contenant sous fonds dix-neuf ares cinquante centiares avec trois chênes sur les édifices. [B-0883] [B-0884] [aux Philippon] Art. 82. au midi de la précédente, autre parcelle de terre froide ou champ sous lande et pâture, aussi nommée Prad-névez, ayant ses édifices au cerne fors du midi, avec cinq chênes, contenant sous fonds vingt-quatre ares dix centiares. [B-0885] [B-0886] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 83. Au midi du précédent article, un pré nommé Prad-gouez, ayant ses édifices au cerne sur lesquels il y a dix chênes, donnant du midi sur pré à Jacques Kgoät, contenant sous fonds vingt-quatre ares. [B-0878] [aux Philippon] Art. 84. Un champ sous pâture et sous fruitiers, ayant ses édifices des nord et midi, partie de celui du levant, bout du nord, nommé Er-flouren, donnant du couchant sur Hent-ar-porz-bras, du nord sur Poul-bras et du levant sur Toulan-an-dour, contenant sous fonds trente-sept ares avec douze ormeaux, onze chênes et trois frênes sur les édifices. [B-1513] [1/3 aux mineurs de Talgarn Pierre et 2/3 à Guillaume et Julien Joliff] Art . 85. Autre parcelle de terre froide nommée Poulou-pry, ayant son édifice au levant sur lequel il y a un chêne, donnant du levant sur terre à Jacques Kgoat, contenant sous fonds trente-huit ares quarante centiares. [B-1494] [B-1495] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 86. Une parcelle de pré nommé Prad-poul-izac, ayant son édifice au nord sur lequel il y a deux chênes, donnant du couchant sur terre aux héritiers de Jean Le Reste, contenant sous fonds onze ares vingt centiares. [B-1447] [aux Philippon] Art. 87. Autre parcelle de pré en partie sous lande, nommé Prad-poul-izac, ayant son édifice au midi sur lequel il y a six chênes, donnant du couchant sur la tenue dite Duquilio, contenant sous fonds vingt-six ares soixante-dix centiares. [B-1452] [B-1453] [aux mêmes] Art. 88. Autre parcelle sous pré, aussi nommée Prad-Poulizac, le dit pré en partie sous lande, ayant ses édifices au cerne fors du levant, donnant du couchant sur la précédente parcelle, contenant sous fonds vingt-un ares soixante-dix centiares avec treize chênes et six frênes sur les édifices. [B-1454] [B-1455] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 89. Autre parcelle à être prise au nord dans un pré nommé Prad-Poulizac, ayant son édifice au couchant et petite partie au levant, bout du nord, donnant du midi sur la tenue Larcher, avec onze chênes sur les édifices, contenant sous fonds dix ares cinquante centiares. [B-1450] [aux mêmes] Art. 90. une parcelle à être prise au nord dans une lande de terre froide nommée Lannec-Poulizac, sans édifices, donnant du midi sur terre de la tenue dite Duquilio et du nord sur terre dépendant de la tenue Larcher, avec dix chênes, contenant sous fonds six ares cinquante centiares. [B-1458] [aux mineurs de Pierre Talgarn] Art. 91. Autre parcelle de terre froide ou lande nommée Lannec-Poulizac, ayant un turon au couchant, donnant du nord sur terre dépendant de la tenue Duquilio, contenant sous fonds vingt ares vingt centiares. [B-1460] [1/2 à François Joliff et 1/2 à Guillaume et Julien Joliff] Art .92. Un champ, terre chaude et pâture, nommé Parc-névez, ayant ses édifices des midi et couchant, donnant du levant sur terre de Kvignac, contenant sous fonds quinze ares vingt centiares. [B-1456] [B-1457] [aux Philippon] Art. 93. Une parcelle de terre froide à prendre au couchant dans une lande nommée Tal-gloët-Coline, donnant des levant et couchant sur terre de la dite tenue Duquilio, contenant sous fonds vingt-trois ares. [B-1472] [à Guillaume et Julien Joliff] Art. 94. autre parcelle de terre froide à prendre au couchant dans un champ, de même nature, nommée Parc-lann-viann, sans édifices, donnant du levant sur terre à Jacques Le Hgoät, contenant sous fonds cinq ares cinquante centiares. [B-1501] [aux Philippon]
Sur et pour cause de la jouissance du fonds des terres et héritages ci-dessus describés, les déclarants prénommés reconnaissent qu'il est dû de rente foncière et convenancière ou rente à domaine congéable. 1° à Monsieur et Madame de Kersauson-vieux-chatel la quantité de six hectolitres cinquante-six litres de froment, sept hectolitres d'avoine et douze francs en argent. 2° et à Madame Dodeur pour ses enfants susdénommés celle de quatre hectolitres un litre de froment.
Lesquelles rentes, les comparants, en privé et ès-qualités, s'obligent jointement et solidairement, sous la déduction du cinquième néanmoins, de payer et faire avoir aux susdits propriétaires fonciers ou à leurs représentants pour l'époque du vingt-neuf septembre de chaque année.
Reconnaissent aussi tous les comparants qu'aux dits Guillaume et Julien Joliff appartiennent exclusivement le droit de déposer, soit du fumier, soit de la lande à fouler, ou les deux ensemble, dans le chemin qui sépare Coataillou-bian et le courtil de la tenue Larcher de Liors-dréon-an-thy, ainsi que dans le chemin nommé Toulan-al-leur.
Laquelle présente déclaration de terre, les dits comparants, après lecture faite, certifient et affirment sincère et véritable, sauf néanmoins à augmenter ou à diminuer en cas d'erreur ou omission.
De tout quoi les comprarants ont requis acte, lequel leur a été octroyé. Ainsi voulu et consenti.
Dont acte ainsi requis en minute : fait et passé en l'étude au chef-lieu de la commune de Moëlan, et a le dit Le Doze Yves Marie signé avec le notaire et les témoins, après lecture faite, tous les autres comparants, en privé et ès-qualités, ont affirmé ne savoir signer, de ce requis séparément, ces jours vingt-neuf et trente-un mars mil huit cent cinquante-deux. |