Par devant Me. Louis Théodore Désiré Barbe, notaire à la résidence du bourg de Moëlan, canton de Pont-Aven, arrondissement de Quimperlé, département du Finistère, soussignés,
ont comparu :
1° Marie Renée Le Bloa, veuve de Pierre Louis Guillou, demeurant à Kbrizilic ; [Lot 2]
2° Jean Marzin, veuf d'Anne Le Bloa, demeurant à Longe bazen, en Riec, agissant comme tuteur légal de ses deux enfants, 1° Yves 2° et Jean Louis Marzin, issus de son mariage. ; [Lot 6]
3° Michel Le Porz, comme époux de Marie Françoise Le Bloa, demeurant au Garzon ; [Lot 3]
4° Pierre Guilloré, comme époux de Jeanne Louise Le Bloa, demeurant à Saint-Thamec ; [Lot 1]
5° Yves Le Bloa, époux de Marie Anne Lozachmeur, demeurant à Kmeurbras ; [Lot 5]
6° Et Marie Françoise Le Tallec, veuve en premières nôces de Jean Le Bloa et épouse actuelle de Jean Le Pennec, assisté de celui-ci, demeurant ensemble à Mescléo, agissant ladite Marie Françoise Le Tallec 1° comme héritière de sa fille Marie Françoise Le Bloa, 2° et comme légataire de son premier mari susnommé, aux termes d'un testament dûment enregistré, au rapport de Me Le Doze, ex-notaire à Moëlan, en date du dix-sept mai mil huit cent trente-deux, [Lot 4]
Tous cultivateurs, tous domiciliés de la commune de Moëlan, le dit Jean Marzin excepté qui est, comme il est dit plus haut, de celle de riec.
Entre lesquelles parties, en privé et ès-qualités, il est reconnu qu'elles possédent en indivis entr'elles, tant du chef de leurs auteurs que d'autres source, divers immeubles et droits immobiliers, en fonds et édifices, situés aux lieu et dépendances de Kerbrizilic, sur la dite commune de Moëlan, valant de revenu une somme de cent vingt-six francs, charges et contributions comprises, donnant au denier vingt celle de deux mille cinq cent vingt francs.
Que les dites parties voulant user de la faculté que leur accorde l'article huit cent quinze du code Napoléon de sortir de l'indivision ont, par le ministère d'un expert à leur choix, fait composer six lots d'une égale valeur sur l'attribution desquels les comparants sont tombés d'accord ; qu'enfin, désirant donner à leur partage le caractère d'authenticité voulu par la loi, les co-partageants ont requis le soussigné notaire d'en transcrire immédiatement les lots, ce qui a lieu comme suit sur modèle par eux représenté.
Premier lot attribué amiablement à Jeanne Louise Le Bloa, femme Guilloré Pierre :
Art. 1er Une parcelle de terre chaude nommée Parc-panern-bian, ayant ses édifices des levant et couchant, donnant des midi et nord sur terre à François Fauglas et du levant sur terre froide dite Ar-banalou-vras, contenant sous fonds treize ares soixante-dix centiares. |
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Art. 2° Autre parcelle de terre chaude nommée Parc-miquel-dandias, ayant ses édifices des levant et couchant, donnant du midi sur terre à la veue de Jean Le Cordonner et du nord sur terre à Jean Le Cordonner, contenant sous fonds neuf ares dix centiares. |
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Art. 3° Autre parcelle de terre chaude nommée Grouyen-parc-miquel, ayant ses édifices au couchant, donnant du levant sur terre à Pierre Le Pennec et du midi sur terre à Louis Le Cordonner, contenant sous fonds huit ares soixante centiares. |
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Art. 4° Les deux tiers à être pris bout du nord dans un courtil nommé Liors-dalahé, y compris la portion de Liors-pêche, ayant ses édifices au couchant, donnant du nord sur Liors-pêche à Michel Le Porz, contenant sous fonds huit ares vingt centiares. |
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Art. 5° Le quart à être pris bout du nord dans un pré dit Prad-ar-ouës-vras, ayant ses édifices des couchant et nord, donnant du levant sur terre à Michel Le Porz et du couchant sur terre froide nommée Lan-costé-prat-ar-ouës, contenant sous fonds quatre ares soixante centiares. |
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Art. 6° Le premier quart à prendre bout du levant dans un pré dit Prad-quercoline, ayant ses édifices au nord, donnant du levant sur terre dépendant du Longeou, du midi sur portion à Michel Le Porz, contenant sous fonds cinq ares soixante-quinze centiares. |
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Art. 7° La moitié, bout du nord, d'une parcelle de terre sous lande et bois nommée Parc-ar-borgn, ayant ses édifices des levant et nord, donnant du nord sur le chemin de Quilimarch au bourg de Moëlan et du couchant sur terre à Michel Le Porz, contenant sous fonds huit ares cinquante-cinq centiares. |
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Art. 8° Une parcelle de terre froide nommée Lannec-ar-pontriou, ayant ses édifices des levant et couchant, donnant des midi et nord sur terre à François Fauglas, contenant sous fonds onze ares quatre-vingt-dix centiares. |
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Art. 9° Le tiers bout du levant d'une parcelle de terre froide nommée Lannec-ar-barre, donnant du levant en partie sur le barre-cloze aux co-partageants et en partie sur le bois de Moëlan et du midi sur terre à François Fauglas, contenant sous fonds vingt-sept ares. |
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Art. 10° Le premier sixième à être pris bout du nord dans une parcelle de terre sous sapinière, nommée Parc-ar-féten, donnant du levant sur terre à Jean Louis Pennec et du couchant sur terre à Michel Le Porz, contenant sous fonds trois ares cinquante-cinq centiares. |
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Art. 11° Une parcelle de terre froide nommée Lannec-costé-prad-ar-ouës, donnant du levant sur terre à François Fauglas, du midi sur pré au même, du couchant sur terre à Jean Carrer et du nord sur terre aux Cordonner, contenant sous fonds dix-sept ares dix centiares. |
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Art. 12° Une portion de champ nommé Pradel-ar-banalou, soit la moitié du midi dudit champ, ayant ses édifices au cerne fors du nord ou l'autre moitié, donnant du couchant sur terre aux co-partageants, contenant sous fonds vingt et un ares quatre-vingt-cinq centiares. |
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Art. 13° La moitié bout du nord d'une parcelle de terre froide nommée Lannec-huellon-vras, avec turon au levant, donnant de ce côté sur un chemin, du couchant sur terre à Pierre Tanguy, et du nord sur terre de Toulancoät, contenant sous fonds vingt et un ares et soixante centiares. |
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Art. 14° Une parcelle de terre froide nommée Parc-huellon-bian, donnant du levant sur terre à Jacques Pocher, du midi sur terre à Jean Marie Joliff, du couchant sur terre à la veuve Cordonner et du nord sur terre à François Fauglas, contenant sous fonds douze ares dix centiares. |
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Art. 15° Autre parcelle de terre froide nommée Pradel-ar-gors-féten, ayant ses édifices des levant et midi, donnant du couchant sur terre à François Fauglas et du nord sur terre à Michel Le Porz, contenant sous fonds huit ares dix centiares. |
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Art. 16° Autre parcelle de terre froide nommée Lannec-ar-boutine, ayant turon au couchant, donnant du levant sur terre à François Fauglas, du couchant sur un commun et du nord sur un chemin conduisant à Knévénic, contenant sous fonds cinq ares quatre-vingt-dix centiares. |
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Art. 17° Le premier cinquième à être pris au nord dans un verger dit Ar-verger-vras, ayant ses édifices au nord, donnant du levant sur terre à Michel Le Porz et du couchant sur terre à François Fauglas, contenant sous fonds deux ares soixante centiares. |
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Art. 18° Une parcelle de terre froide nommée Costé-ar-prajou-ru, ayant ses édifices des levant et nord, donnant du midi sur terre à François Fauglas et du couchant sur terre au même, contenant sous fonds quatre ares soixante-cinq centiares. |
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Art. 19° La moitié bout du couchant de la maison de long à deux longères trois mètres vingt-cinq centimètres, de franc à un simple pignon au couchant quatre mètres quarante centimères, avec sa cour vis à vis. |
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Second lot attribué à l'amiable à Marie Renée Le Bloa, veuve de Pierre Louis Guillou :
Art. 1er Une parcelle de terre chaude nommée Parc-bras, donnant du levant sur terre à Jean Carrer, du midi sur le chemin conduisant de ce champ à Kbrizillic et du couchant sur terre à Michel Le Porz, contenant sous fonds onze ares vingt centiares. |
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Art. 2° Autre parcelle de terre chaude mais en partie sous futaie et autre bois, nommée Parc-pannern-costé-ar-lan, ayant ses édifices des couchant et nord, donnant du midi sur terre à Jean Louis Pennec, contenant sous fonds vingt ares soixante-dix centiares. |
E-0835
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Art. 3° Autre parcelle de terre chaude nommée Ar-bot-quélen, donnant du midi sur terre à Michel Le Porz, du couchant sur terre à plusieurs et du nord sur terre à François Fauglas, contenant sous fonds douze ares quinze centiares. |
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Art. 4° Le tiers à prendre, bout du midi d'un courtil nommé Liors-bian-dalahé, ayant ses édifices au couchant sur la cour de Kbrizillic, donnant du levant sur terre à Jean Carrer, contenant sous fonds quatre ares dix centiares. |
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Art. 5° La moitié bout du nord d'un courtil nommé Ar-c'houchennou, ayant ses éfifices au couchant, donnant du levant sur terre à François Fauglas, du nord sur terre à Michel Le Porz, contenant sous fonds deux ares quinze centiares. |
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Art. 6° Le troisième quart à être pris bout du midi dans un pré dit Prad-ar-ouës-vras, ayant ses édifices au couchant, donnant du levant sur terre à Michel Le Porz, contenant sous fonds quatre ares soixante centiares. |
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Art. 7° Le deuxième quart à prendre bout du levant dans un pré dit Prad-quercoline, ayant ses édifices au nord, donnant du midi sur terre à Michel Le Porz, conetant sous fonds cinq ares soixante-quinze centiares. |
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Art. 8° La moitié bout du midi d'une parcelle de terre sous bois et lande, nommée Parc-ar-borgn, ayant ses édifices des levant et midi, donnant du couchant sur terre à Michel Le Porz et du midi sur terre de Quililen, contenant sous fonds huit ares cinquante-cinq centiares. |
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Art. 9° Le tiers à être pris au milieu d'une parcelle de terre froide nommée Lannec-ar-barre, donnant des midi et nord sur terre à François Fauglas, contenant sous fonds vingt-sept ares. |
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Art. 10° Le second sixième à prendre bout du nord dans une parcelle de terre sous sapins nommée Parc-ar-féten, donnant du levant sur terre à Jean Louis Pennec, contenant sous fonds trois ares cinquante-cinq centiares. |
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Art. 11° Une parcelle de terre froide nommée Lannec-tal-prad-pen-leur, donnant du levant sur Prad-pen-leur à François Fauglas, du midi sur terre aux Cordonner et du couchant sur terre audit Fauglas, contenant sous fonds huit ares soixante-cinq centiares. |
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Art. 12° Autre parcelle de terre froide nommée Costé-parcou-créis, donnant de tous côtés sur terre à la veuve Cordonner excepté du midi d'où elle donne sur une cloture dite mur du Roi, contenant sous fonds six ares dix centiares. |
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Art. 13° La moitié côté du midi d'une parcelle de terre froide nommée Lannec-ar-banalou-bras, donnant du midi sur terre à la veuve Cordonner, du couchant sur terre à François Fauglas, contenant sous fonds dix-sept ares quarante centiares. |
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Art. 14° La moitié, bout du nord, d'une parcelle de terre froide nommée Parc-huellon-créis, donnant du levant sur terre à Martial Guillou, du couchant sur terre à Jean Louis Le Pennec, contenant sous fonds quinze ares soixante-dix centiares. |
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Art. 15° Une parcelle de terre froide nommée Parc-jébarc, ayant ses turons des levant et nord, donnant du midi sur terre à François Fauglas, contenant sous fonds dix ares vingt centiares. |
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Art. 16° Autre parcelle de terre froide nommée Parc-panern-costé-an-douar-labour, ayant ses édifices des levant et couchant, donnant du nord sur terre à Jacques Pocher et du midi sur terre aux co-partageants, contenant sous fonds onze ares dix centiares. |
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Art. 17° Autre parcelle de terre froide nommée Marr-rostet, ayant ses édifices des midi et nord, donnant du levant sur terre à François Fauglas et du couchant sur terre au même, contenant sous fonds vingt-cinq ares vingt centiares. |
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Art. 18° Autre parcelle de terre froide dite Lannec-parcou-munul, ayant turon au cerne fors du levant, donnant de ce côté sur terre au dit Jacques Pocher, contenant sous fonds treize ares. |
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Art. 19° Autre parcelle de terre sous lande nommée Parc-jébarc-cusséol, ayant son turon au nord, donnant du levant sur terre à Pierre Tanguy, du midi sur terre à François Fauglas et du couchant sur terre à Jean Louis Pennec, contenant sous fonds quatre ares vingt centiares. |
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Art. 20° La moitié bout du levant de la maison ayant de long à deux longères trois mètres vingt-cinq centimètres, de franc à un demi pignon à cheminée au levant quatre mètres quarante centimètres avec sa cour vis à vis. |
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Troisième lot attribué amiablement à Michel Le Porz, et femme susnommée :
Art. 1er La moitié à prendre côté du couchant d'une parcelle de terre chaude nommée Coät-ar-gou, ayant ses édifices au midi, donnant de ce côté sur chemin de Knévénic à Kbrizilic, du levant sur terre à Pierre Pennec et du couchant sur terre à François Fauglas, contenant sous fonds neuf ares soixante-dix centiares. |
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Art. 2° La moitié côté du midi, d'autre parcelle de terre chaude nommée Parc-panern-créis, ayant ses édifices des levant et couchant, donnant du midi sur terre à François Fauglas, contenant sous fonds neuf ares trente-cinq centiares. |
E-0837
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Art. 3° Douze ares vingt-cinq centiares à être pris côté du couchant dans une parcelle de terre chaude nommée Ar-barre-cloze, ayant ses édifices au midi, donnant du levant sur terre à Pierre Lopin. |
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Art. 4° Le premier cinquième à prendre bout du midi d'un verger nommé Ar-verger-vras, ayant ses édifices au midi, donnant du levant sur terre audit Michel Le Porz et du couchant sur terre audit François Fauglas, contenant sous fonds trois ares vingt-cinq centiares. |
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Art. 5° La moitié côté au bout du midi d'un courtil nommé Ar-c'houchennou, ayant ses édifices des midi et couchant, donnant du midi sur un chemin et du levant sur terre audit Fauglas, contenant sous fonds deux ares quinze centiares. |
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Art. 6° Le second quart à être pris bout du midi dans un pré dit Prad-ar-ouës-vras, ayant ses édifices au couchant, donnant du levant sur terre audit Le Porz et du couchant sur terre froide nommée Costé-prad-ar-ouës, contenant sous fonds quatre ares soixante centiares. |
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Art. 7° Le troisième quart à prendre bout du levant d'un pré dit Prad-quercoline, ayant ses édifices au nord, donnant du midi sur terre audit Michel Le Porz, contenant sous fonds cinq ares soixante-dix ares. |
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Art. 8° Le tiers à être pris bout du levant dans un taillis nommé Coätaïl-ar-barre-cloze, ayant ses édifices au midi, donnant du levant sur le bois de Moëlan et du nord sur une taille à Pierre Lopin, contenant sous fonds six ares trente centiares. |
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Art. 9° La moitié bout du midi d'une parcelle de terre sous bois et futaie nommée An-huel-varr, ayant ses édifices au couchant et en partie du midi, donnant du levant sur terre à Jean Carrer et en partie du midi au même, contenant sous fonds neuf ares. |
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Art. 10° Le tiers à être pris au milieu d'une parcelle de lande nommée Ar-barre-trémec-ar-lonjou, donnant du midi sur terre au dit Fauglas François et du nord sur le Barre-cloze aux co-partageants, contenant sous fonds vingt-huit ares quarante centiares. |
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Art. 11° Le cinquième sixième à prendre, bout du nord, d'une parcelle de terre sous sapins nommée Parc-ar-féten, donnant du levant sur terre à Jean Marie Pennec, du couchant sur terre audit Le Porz, contenant sous fonds trois ares cinquante-cinq centiares. |
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Art. 12° La moitié, côté du couchant, d'une parcelle de terre froide nommée Lannec-vras-rouze-an-dachen, donnant du couchant sur terre audit François Fauglas et du midi sur un ruisseau, contenant sous fonds vingt ares quinze centiares. |
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Art. 13° Une parcelle de terre froide nommée Parc-miquel-lan, ayant ses édifices des midi et couchant, donnant du levant sur terre à Pierre Scoizec, du midi sur terre au même et du couchant sur le chemin de Toulancoät à la fontaine de Knévénic, contenant sous fonds vingt-trois ares. |
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Art. 14° La moitié bout du midi d'une parcelle de terre froide nommée Lannec-an-huellon-vras, ayant ses édifices au levant, donnant du couchant sur terre à Pierre Marie Tanguy, contenant sous fonds vingt et un ares soixante centiares. |
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Art. 15° Une parcelle de terre froide nommée Lannec-tal-pond-quercoline, ayant ses édifices au midi sur le chemin de Quiliarc'h au bourg de Moëlan, donnant du levant sur terre à la veuve Cordonner, du couchant sur terre audit Le Porz, et du nord sur terre à Jacques Pocher, contenant sous fonds dix ares dix centiares. |
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Art. 16° Autre parcelle de terre froide nommée Parcou-munut-cusséol, ayant ses édifices au cerne fors du nord, donnant de ce côté sur terre à Martial Guillou, contenant sous fonds dix ares vingt centiares. |
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Art. 17° Autre parcelle de terre froide nommée Lannec-ar-gost-féten, ayant son turon des midi et couchant, donnant du levant sur terre à la veuve Jean Le Cordonner et du nord sur terre audit Michel Le Porz, contenant sous fonds quatre ares quatre-dix centaires. |
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Art. 18° La moitié, bout du levant, d'une parcelle de terre froide nommée Parc-ar-c'hoät-lostec, donnant du levant sur le pont de Kcoline, du midi sur un ruisseau qui sépare les terres de Quililen de cette parcelle de terre, contenant sous fonds cinq ares. |
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Art. 19° La moitié, côté du couchant, d'un hangar nommé Cardy-al-leur, (l'autre moitié étant au dit François Fauglas), ayant de long dix mètres, de franc deux mètres dix centimètres pour la moitié seulement; plus une portion dans une petite crêche. |
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Quatrième lot attribué amiablement à Marie Françoise Tallec, femme actuelle de Jean Le Pennec :
Art. 1er La moitié, côté du couchant, d'une parcelle de terre chaude nommée An-avalen-put, ayant ses édifices au midi, donnant du couchant sur terre à François Fauglas et du midi sur le chemin de Knévénic à Kbrizillic, contenant sous fonds huit ares quatre-vingt centiares. |
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Art. 2° La moitié, côté du midi, d'une parcelle de terre chaude nommée Près-bras-paec-panern, ayant ses édifices des levant et couchant, donnant du midi sur terre audit François Fauglas, contenant sous fonds douze ares trente-cinq centiares. |
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Art. 3° La moitié, côté du couchant, d'une parcelle de terre chaude nommée Pen-an-idou, ayant ses édifices des midi et nord, donnant du couchant sur terre audit Fauglas, contenant sous fonds neuf ares vingt centiares. |
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Art. 4° Le deuxième cinquième à être pris bout du midi dans un verger dit Ar-vergé-vras, donnant du levant sur terre audit Michel Le Porz et du couchant sur terre à François Fauglas, contenant sous fonds deux ares soixante centiares. |
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Art. 5° La moitié bout du couchant à être prise dans un courtil nommé Liors-bian-ar-c'hao, ayant ses édifices au couchant, donnant du levant sur l'autre moitié, contenant sous fonds un are quinze centiares, avec aussi édifices au nord. |
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Art. 6° La moitié, côté du nord, à être prise dans un pré dit Prad-ar-ouës-vian, ayant ses édifices au cerne fors du midi, donnant de ce côté sur l'autre moitié, contenant sous fonds six ares quatre-vingt centiares. |
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Art. 7° La moitié, côté du levant, à être prise dans un autré pré dit Prad-an-diasou, ayant ses édifices au levant, donnant du midi sur terre audit Le Porz et du couchant sur l'autre moitié, contenant sous fonds un are cinq centaires. |
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Art. 8° La moitié à être prise bout du couchant, d'une parcelle de terre sous lande nommée Pen-toulan-huel, ayant ses édifices des couchant et nord, donnant du midi sur terre audit Fauglas, du couchant sur terre à Yves Malcoste et du levant sur l'autre moitié, contenant sous fonds treize ares quatre-vingt centiares. |
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Art. 9° Onze ares à prendre, côté du couchant, dans une portion de champ nommé Ar-barre-cloze, ayant ses édifices des midi et couchant, donnant des midi et couchant sur terre froide aux co-partageants et du nord sur la taille ou bois de Moëlan. |
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Art. 10° Une parcelle de terre froide nommée Pen-an-idou, ayant ses édifices au midi sur chemin de Quilimarc'h au bourg de Moëlan, donnant du levant sur terre audit Le Porz et du couchant sur terre à Jean Marie Joliff, contenant sous fonds quinze ares quatre-vingt centiares. |
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Art. 11° Le tiers bout du couchant d'une parcelle de terre froide nommée Lannec-ar-barre, donnant du couchant sur terre aux co-partageants et du midi sur terre au dit François Fauglas, contenant sous fonds vingt-sept ares dix-sept centiares. |
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Art. 12° Le troisième sixième à être pris au nord d'une parcelle de terre sous prussiers nommée Parc-ar-féten, donnant du levant sur terre à Jean Louis Pennec, contenant sous fonds trois ares cinquante cinq centiares. |
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Art. 13° Une parcelle de terre froide nommée Lannec-parc-avanel, donnant du levant sur terre à Louis Le Cordonner, du midi sur terre audit Fauglas, du couchant sur un ruisseau et du nord sur terre à la veuve Cordonner, contenant sous fonds quatorze ares vingt centiares. |
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Art. 14° La moitié, côté du nord, d'une parcelle de terre nommée Lannec-ar-banalou-vras, donnant du levant sur terre aux co-partageants, du couchant sur terre à François Fauglas, du nord sur terre à Jean Guillou, contenant sous fonds dix-sept ares quarante centiares. |
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Art. 15° La moitié bout du midi d'une parcelle de terre froide nommée Parc-huellon-créis, donnant du levant sur terre à Martial Guillou, du midi sur terre nommée Parc-jébarc et du couchant sur terre à Jean Louis Pennec, contenant sous fonds quinze ares soixante-dix centiares. |
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Art. 16° Autre parcelle de terre froide nommée Parc-jébarc-bras, avec turon des midi et nord, donnant du levant sur terre à Michel Le Porz et du couchant sur terre à Jean Marie Joliff, contenant sous fonds treize ares soixante centiares. |
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Art. 17° Autre parcelle de terre froide nommée Parc-panern-vras, ayant ses édifices des couchant et nord, donnant du levant sur terre à Martial Guillou et du midi sur terre à Jacques Pocher, contenant sous fonds quatorze ares trente centiares. |
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Art. 18° Autre parcelle de terre froide nommée Lannec-parcou-munut-créis, donnant du levant sur un chemin, du midi sur terre à Jean Le Cordonner, du couchant sur autre chemin conduisant de Knévénic à Parc-jébarc, contenant sous fonds cinq ares quatre-vingt-dix centiares. |
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Art. 19° Autre parcelle de terre froide nommée Lannec-ar-gost-féten, avec turon au midi, donnant du couchant sur terre à la veuve Le Cordonner, du nord sur terre à Michel Le Porz et du levant sur terre à François Fauglas, contenant sous fonds quatre ares soixante centiares. |
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Art. 20° La moitié, bout du levant, d'une parcelle de terre froide nommée Pen-ar-c'hoät-lostec, donnant du levant sur Poud-quercoline, du midi sur un ruisseau et du nord sur terre dite Ros-ar-marr aux co-partageants et à autres, contenant sous fonds cinq ares cinq centiares. |
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Art. 21° La moitié, bout du couchant d'un logement dit Ar-c'hao, ayant de long à deux longères quatre mètres quatre-vingt centimètres, de franc trois mètres, attenant du levant à logement audit Fauglas François. |
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Cinquième lot attribué amiablement à Yves Le Bloa :
Art. 1er La moitié à prendre, côté du levant, dans une parcelle de terre chaude nommée Coät-ar-Goff, ayant ses édifices au midi sur le chemin de Knévénic à Kbrizilic, donnant du levant sur terre à Pierre Le Pennec, contenant sous fonds neuf ares soixante-dix centiares. |
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Art. 2° La moitié, côté du nord, d'une parcelle de terre chaude nommée Parc-panern-créis, ayant ses édifices des levant et couchant donnant du nord sur terre à la veuve Le Cordonner et du midi sur l'autre moitié, contenant sous fonds neuf ares trente-cinq centiares. |
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Art. 3° Une parcelle de terre chaude nommée Parc-miquel-créis, ayant ses édifices au couchant, donnant du levant sur terre à Jean Carrer, du midi sur terre à la veuve Le Cordonner et du couchant sur un chemin, contenant sous fonds douze ares. |
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Art. 4° Le quatrième cinquième à être pris, bout du midi dans un verger nommé Ar-vergé-vras, donnant du levant sur terre au dit Michel Le Porz et du couchant sur terre à François Fauglas, contenant sous fonds deux ares soixante centiares. |
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Art. 5° Un courtil nommé Liors-ar-c'hardy, ayant ses édifices au cerne fors du couchant, donnant de ce côté sur logement aux co-partageants et à François Fauglas, contenant sous fonds un are soixante centiares. |
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Art. 6° Le premier quart à être pris, bout du midi, dans un pré dit Prad-ar-ouäs-vras, ayant ses édifices des midi et couchant, contenant sous fonds quatre ares soixante centiares. |
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Art. 7° Le quart, bout du couchant, d'un pré dit Prad-quercoline, ayant ses édifices au nord, donnant du midi sur autre pré au dit Michel Le Porz, contenant sous fonds six ares. |
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Art. 8° Le tiers à être pris au milieu dans un taillis nommé Coätail-ar-barre-cloze, ayant ses édifices au midi, contenant sous fonds six ares trente centiares. |
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Art. 9° Le tiers bout du nord de Coät-ar-Goff, édifices au couchant, donnant du levant sur terre à Jean Carrer, contenant sous fonds 6 ares. |
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Art. 10° Le tiers bout du couchant dans une parcelle de terre froide nommée Barre-trémec-ar-lonjou, donnant du midi sur terre à François Fauglas et du nord sur le Barre-cloze aux co-partageants, contenant sous fonds vingt-huit ares quarante centiares. |
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Art. 11° Le sixième à prendre bout du midi dans une parcelle de terre plantée de prussiers ou sapins nommée Parc-ar-féten, donnant du levant sur terre à Jean Marie Pennec et du couchant sur terre audit Le Porz, contenant sous fonds trois ares cinquante-cinq centiares. |
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Art. 12° La moitié, côté du levant, à être prise dans une parcelle de terre froide nommée Lannec-vras-rouze-an-dachen, donnant du levant sur terre à la veuve Jean Le Cordonner, du midi sur un ruisseau, contenant sous fonds vingt ares quinze centiares. |
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Art. 13° Une parcelle de terre froide nommée Parc-miquel-lan-savéol, ayant turon au midi, donnant du levant sur terre à François Fauglas, du midi sur terre à Pierre Scoizec et du nord sur terre à Jean Guillou, contenant sous fonds vingt-trois ares dix centiares. |
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Art. 14° Autre parcelle de terre froide nommée Calichou-bras, ayant son turon au levant, donnant de ce côté sur l'ancien chemin du bois de Moëlan au pont de Kcoline et du midi sur terre à Martial Guillou, contenant sous fonds vingt-huit ares soixante centiares. |
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Art. 15° Un prateau nommé Pradel-Quercoline, ayant ses édifices au cerne fors du nord, donnant du couchant sur le même chemin que l'article précédent et du midi sur terre à Jacques Pocher, contenant sous fonds dix ares soixante centiares. |
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Art. 16° Une parcelle de terre froide nommée Lannec-costé-parc-miquel, ayant son turon en partie du midi, donnant du levant sur terre audit Michel Le Porz, du couchant sur le mur du Roi et du nord sur Parc-miquel à la veuve Cordonner, contenant sous fonds treize ares quatre-vingt-dix centiares. |
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Art. 17° Autre parcelle de terre froide nommée Lannec-tal-mur-ar-Rou, ayant son turon au nord, donnant du levant sur terre à Pierre Le Pennec, du couchant sur terre à Martial Guillou et du nord sur terre au dit François Fauglas, contenant sous fonds quatre ares quatre-vingt-dix centiares. |
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Art. 18° Une portion de crêche nommée Ar-c'hraou-dendias, attenant du levant à portion de crèche audit Michel Le Porz, du couchant à autre portion au dit François Fauglas, ayant de long à deux longères trois mètres trente-trois centimes. |
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Sixième lot attribué amiablement aux enfants Marzin par représentation de leur mère Anne Le Bloa :
Art. 1er La moitié à être prise, côté du levant, dans une parcelle de terre chaude nommée An-avalen-put, ayant ses édifices au midi sur un chemin de Knévénic à Kbrizillic, donnant du levant sur terre à Pierre Le Pennec, contenant sous fonds huit ares quatre-vingt centiares. |
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Art. 2° La moitié à être prise, côté du nord, d'une parcelle de terre chaude nommée Pès-bras-parc-panern, ayant ses édifices des levant et couchant, donnant du nord sur terre à François Fauglas, contenant sous fonds douze ares trente-cinq centiares. |
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Art. 3° La moitié, côté du levant, d'une parcelle de terre chaude nommée Pen-idou, ayant ses édifices des midi et nord, donnant du levant sur terre à Jean Louis Pennec et du couchant sur l'autre moitié, contenant sous fonds neuf ares vingt centiares. |
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Art. 4° Le troisième cinquième à être pris bout du midi dans un verger dit Ar-vergé-vras, donnant du levant sur terre à Michel Le Porz, et du couchant sur terre au dit Fauglas, contenant sous fonds deux ares soixante centiares. |
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Art. 5° La moitié, bout du levant, d'un courtil nommé Liors-bihan-ar-c'hao, ayant une haie vive au nord, donnant du levant sur terre à la veuve Le Cordonner, du midi sur terre à Jean Carrer et du couchant sur l'autre moitié, contenant sous fonds un are quinze centiares. |
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Art. 6° La moitié à prendre, côté du midi, dans un pré dit Prad-ar-ouas-vian, ayant ses édifices des levant et couchant, donnant du midi sur terre audit Le Porz et du nord sur l'autre moitié, contenant sous fonds six ares quatre-vingt centiares. |
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Art. 7° La moitié, côté du couchant, dans un pré dit Prad-an-diasou, ayant ses édifices au nord, donnant du levant sur l'autre moitié et du couchant sur pré au dit Michel Le Porz, contenant sous fonds un are cinq centiares. |
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Art. 8° La moitié, bout du levant, dans une parcelle de terre froide nommée Pen-toulant-huel, ayant ses édifices des levant et nord, donnant du couchant sur l'autre moitié, contenant sous fonds treize ares quatre-vingt centiares. |
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Art. 9° Le tiers à être pris, bout du couchant, dans une taille nommée Coätail-ar-barre-cloze, ayant ses édifices au midi, contenant sous fonds six ares trente centiares. |
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Art. 10° Le tiers à être pris, bout du levant d'une parcelle de terre froide nommée Lannec-barre-trémec-ar-longeou, donnant du midi sur terre audit François Fauglas et du couchant sur l'autre moitié, contenant sous fonds vingt-huit ares quarante-trois centiares. |
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Art. 11° Le tiers à être pris au milieu d'une parcelle de terre sous bois nommée Coät-ar-Goff, ayant ses édifices du couchant, donnant du levant sur terre à Jean Carrer, contenant sous fonds six ares. |
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Art. 12° Le quatrième sixième à être pris, bout du nord, dans une parcelle de terre sous sapins nommée Parc-ar-féten, contenant sous fonds trois ares cinquante-cinq centiares. |
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Art. 13° Une parcelle de terre froide nommée Lannec-vian-rouze-an-dachen, donnant du levant sur terre à Marie Anne Le Cordonner et du couchant sur un ruisseau, contenant sous fonds quatorze ares soixante centiares. |
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Art. 14° Autre parcelle de terre froide nommée Lannec-parc-ar-minguen, donnant du levant sur terre à Louis Le Cordonner et du midi sur terre au dit François Fauglas, contenant sous fonds quatorze ares vingt-un centiares. |
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Art. 15° La moitié, côté du nord, d'un prateau nommé Pradel-ar-banalou, ayant ses édifices des levant et couchant, donnant du nord sur terre à Louis Le Cordonner et du midi sur l'autre moitié, contenant sous fonds vingt et un ares quatre-vingt-cinq centiares. |
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Art. 16° Une parcelle de terre froide nommée Calichou-bihan, ayant ses édifices au levant, donnant du midi sur terre au dit François Fauglas, contenant sous fonds vingt-deux ares. |
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Art. 17° Autre parcelle de terre froide nommée Parc-calichou-tost, ayant ses édifices des levant et couchant, donnant du midi sur terre à Martial Guillou, contenant sous fonds vingt et un ares vingt-cinq centiares. |
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Art. 18° Autre parcelle de terre froide nommée Lannec-rouze-ar-marr, donnant du midi sur terre aux co-partageants dite Pen-ar-c'hoät-lostic, du nord sur terre à Louis Le Cordonner et du couchant sur terre à Jean Louis Pennec, contenant sous fonds quatorze ares. |
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Art. 19° Autre parcelle de terre froide nommée Poulou-pry, ayant turon des midi et nord, donnant du levant en partie sur terre à la veuve Cordonner et en partie sur terre audit Fauglas, la dite parcelle de terre traversée par le chemin de Quilimarc'h à Knévénic, contenant sous fonds huit ares cinq centiares. |
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Art. 20° Autre parcelle de terre froide nommée Rouze-quercoline, donnant du levant sur terre à Jacques Pocher, du midi sur terre au même, du couchant sur un prat aux co-partageants et du nord sur terre audit Le Porz, contenant sous fonds trois ares soixante-quinze centiares. |
E-0270
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Art. 21° La moitié bout du levant d'un logement nommé Ar-c'hao, ayant de long à deux longères quatre mètres quatre-vingt centimètres, de franc trois mètres soixante-dix centimètres, attenant du levant à logement audit François Fauglas. |
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Ces lots ainsi transcrits sur des notes des modèles représentés par les parties et qui leur ont été ensuite rendus, elles ont déclaré trouver les lots égaux et conformes à leurs désirs sur la lecture qui leur en a été faite par le soussigné notaire.
Le présent partage fait sans soulte ni équipotement ? est consenti amiablement entre les parties aux conditions suivantes :
1° Les co-partageants susdénommés sont entrés en propriété des biens immobiliers ci-dessus describés, à compter de ce jour, et en jouissance à dater du vingt-neuf septembre dernier, payant et acquittant, à partir de la même époque et à l'avenir, les impôts de toute nature nature auxquels ils sont ou peuvent être assujettis, quitte du passé.
2° Les comparants, en privé et ès-qualités, ont déclaré, dès ce jour se faire tous abandonnements à titre de partage et sous la garantie ordinaire entre co-partageants.
3° Les chemins, sentiers et voies charretières resteront comme par le passé indivis entre les dites portions, pour la fréquentation et l'exploitation seulement des immeubles ci-dessus partagés.
4° Demeureront également dans l'indivision entre les co-partageants l'aire-à-battre, les places à fouler la lande ou autres matières à engrais ; il en sera de même des four, fontaines, puits, issues, franchises, frostages et communs dudit village ainsi que des douets et routoirs.
Demeurent, en conséquence, tous les co-partageants propriétaires chacun de son lot, consentant les comparants, en privé et ès-qualités, que chacun d'eux en use, jouisse et dispose comme de tous ses autres biens, renonçant tous dès ce jour à se rien rechercher à l'avenir pour cause du présent partage, déclarant au contraire y adhérer de leur plein gré et s'y arrêter irrévocablement, les frais auxquels donneront les dites présentes devant être payés et acquittés par sixième entre les parties.
Ainsi voulu, consenti et accepté.
Dont acte en minute : fait et passé en l'étude au chef-lieu de la commune de Moëlan, l'an mil huit cent cinquante-quatre, le huit juillet.
Les témoins instrumentaires Messieurs Maurice Jouant, cordonnier et François Yves Le Postec, marchand, les deux demeurant au susdit bourg de Moëlan, ont seulement signé avec le notaire.
Toutes les parties ayant affirmé ne le savoir, de ce requises séparément, après lecture faite.


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